Davidiaceae
Habitude et feuille forme. Arbres. Feuilles caduques ; alternes ; simple. Limbe entier ; largement ovées ; nervation pennée ; Croix-venulate ; cordée. Feuilles exstipulées. Marges de limbe dentelées.
Anatomie générale. Plantes sans « Crystal sand ».
Feuille d’anatomie. Le limbe foliaire dorsiventrale. Poils présents ; exclusivement glandulaire (et sans poils 2 armés présents). Le mésophylle contenant des cristaux. Les cristaux exclusivement solitaire-prismatique (uniquement dans le mésophylle lacuneux). Nervures principales incorporés. Nervures mineures sans cellules de transfert de phloème.
Anatomie Axial (souches, bois). Phellogène présent ; au départ superficielle. Phloème interne absent. Épaississement secondaire, élaboration d’un anneau cambial classique.
Les fin-parois des vaisseaux scalariformes. Le Parenchyme apotrachéal. Phloème « Inclus » absent.
Type de reproduction, pollinisation. Fleurs unisexuées présents. Plantes andromonoïques. Fleurs femelles avec des staminodes (« les fleurs femelles fertiles avec peu de nombreux petits staminodes inséré pratuique jusqu'à l’ovaire » (Airy Shaw 1973)). Gynécée de fleurs mâles absent.
La morphologie des fruits et semences florale, inflorescence,. Fleurs agrégées dans « inflorescences » ; dans les têtes. Inflorescences terminales ; capitules denses, terminaux, pédonculés, globulaires, chacun avec plusieurs fleurs mâles peine distinctes et un seul, obliquement terminal hermaphrodite (ou femme ?); avec bractées involucrées correctement (chaque capitule sous-tendu par une paire de bractées grandes, inégales, tombantes, blanches, pétaloïdes); pseudanthiales.
Périanthe vestigial (peut-être, dans les fleurs hermaphrodites), ou absentes (les fleurs mâles composées d’étamines seulement, la femelle plus ou moins limitée à un ovaire et étamines (plus staminodes ?)).
Androcée chez les fleurs mâles, 5 – 6. Membres de l’androcée gratuitement des uns des autres. Androcée contenant exclusivement des étamines fertiles (chez les fleurs mâles), ou y compris staminodes (dans la fleur terminale, hermaphrodite, selon Airy Shaw). Étamines 5-6 ; filantherous (les filaments longs). Anthères déhiscente par des fentes longitudinales ; tétrasporangiées ; unappendaged. Grains de pollen aperturate ; 3 aperturate ; colporés.
Carpelled de gynécée 6 – 10. Le pistil 6 – 9 loculaire. Gynécée syncarpe ; synovarious à synstylovarious ; inférieure. Ovaire loculaire entre 6 et 9. Epigynous disque absent. Gynécée stylate. Styles 1 (colonnes, dépassant l’androcée). Stigmates 6 – 10 (« le style avec 6-10 branches ») ; type de sèche ; non papilleux ; Groupe type II. Placentation axile. 1 les ovules par loge ; pendantes ; epitropous ; avec raphé ventral ; anatropes ; tégument ; plus ou moins crassinucellate. Dissociés de l’endothélium. Formation de l’albumen cellulaire.
Fruits charnus ; indéhiscent ; une drupe (en forme de poire, environ 3,5 cm de long, avec mésocarpe granulaire). Les drupes d’une pierre (endocarpe osseux, sulcate longitudinalement, 3 – 5 loculaire). Graines endospermiques. Endosperme huileux. Embryon bien différenciées (assez grand). Cotylédons 2. Embryon droit.
Seedling. Phanerocotylar de la germination.
Physiologie, phytochimie. Non cyanogènes. Verbascosides ne pas détecté. Arbutine absent. Iridoïdes détecté ; Type « Route j’ai » (+ seco). Les saponines/sapogénines présents et absents. Proanthocyanidines absent. Flavonols présents ; kaempférol et quercétine. Acide ellagique présent.
Géographie, cytologie. Holarctique. Tempérées. La Chine. N = 21.
Taxonomie. Sous-classe Dicotyledonae ; Tenuinucelli. Superorder Corniflorae de Dahlgren ; Cornales. Sous-classe Rosidae de Cronquist ; Cornales. Angiospermes de APG III de base ; Eudicotylédones Core ; Super-ordre Asteranae. APG IV ordre Cornales (comme un synonyme de Cornacées).
Espèce 1 (Davidia involucrata). Genres de 1 ; seul le genre, Davidia.
Généralités. Voir Eyde (1988). Différant du Cornacées sensu stricto (q.v.) en impliquant le périanthe, gynécée, ovules et graine de nombreux personnages, Davidia illustre bien les difficultés bien connues dans la distribution de certaines familles de dicotylédones entre de Dahlgren Araliiflorae et Corniflorae. Il est tout aussi difficile de leur attribuer avec confiance vers les groupes de niveau supérieurs Crassinucelli et Tenuinucelli, bien que ces derniers représentent évidemment une divergence majeure dans les lignées dicotylédones (cf. Young et Watson 1970, Chase et al. 1993).